Malédictiontimentale
Voici une image qui résume plutôt bien ma sale manie du self-sabordage.
Je me self-saborde sentimentalement, oui oui. Je suppose que c'est quelque chose d'inconscient, du genre un je-ne-sais-quoi masochiste, en moi, qui oriente sans cesse ma ligne de mir vers des objets inaccessibles. Ouais, putain c'est chiant d'avoir une ligne de mir qui vise dans les coins!
Bon, ok, ça vous est sûrement déjà arrivé de n'avoir d'yeux que pour quelqu'un qui vous ignore ou vous regarde avec d'autres yeux que ceux que vous voudriez. C'est la vie, ai-je envie de dire...
"T'es une fille bien"
Merci!
Mais le foot et la bière me condamneront-ils au statut de "fille-bien-mais-tellement-qu'elle-est-cool-je-veux-pas-qu'elle-devienne-plus-qu'une-pote-au-risque-de-lui-faire-du-mal" ?! Certes, ils sont fort peu glamour, alors dois-je y renoncer et me refaire une garde-robe 100% gonzesse en ne consommant plus que des kirs devant la dernière série télé à la mode, afin de devenir ENFIN un objet désirable aux yeux de mes proies? Je porte parfois des jupes, j'aime le kir, et j'ai maté toutes les saisons de Sex And The City, c'est déja un bon début, remarquez.
Après des mois et des mois de paralysie, je crois que je suis malade: je sais plus comment on drague. Et du coup, telle la débutante de base, je me précipite et fais tout capoter par manque de patience.
Alors que putain, ça faisait un sacré bail que j'avais pas eu un tel coup de coeur !!
Natachou, c'est tout ou rien. Soit une patience extrème (iste?!) , soit une précipitation abusive. Et les deux mènent à la frustration.
Fais chier, p'tain...